Du côté de chez McLaren, il semblerait que tout aille pour le mieux. En termes de ventes en effet, les chiffres progressent depuis 2010. Un record à même été atteint l’an dernier avec 1648 véhicules vendus soit 21% de plus qu’en 2013. Quoi qu’il en soit, le constructeur ne compte pas en restera là… Celui-ci pensant déjà au futur et notamment à 2018 : date à laquelle une nouvelle McLaren devrait voir le jour.
McLaren travaille déjà sur un nouveau modèle censé débarquer d’ici 2018 ? Rien n’est donc impossible pour le constructeur, surtout lorsqu’il s’agit d’étoffer son catalogue et de faire rêver la clientèle avec un nouveau modèle. Justement quel sera ce nouveau modèle ?
On parle d’une nouvelle Super Series destinée à remplacer la fameuse 650S.
L’histoire continue donc de plus bel. On se rappelle en effet 2009 où le constructeur lançait sa première routière : la 12C. Depuis la gamme s’est bien évidemment élargie, accueillant plusieurs modèles devenus célèbres : que ce soit dans la catégorie des Sports Series avec les 540C et 570S ou encore dans la catégorie des Super Series avec les incontournables 625C, 650S et 675LT. Bien sûr McLaren se fera également connaitre grâce à ses McLaren P1 et P1 GTR, ces dernières étant classées dans la catégorie des Ultimate Series…
C’est donc fort de ses nombreux succès, qu’aujourd’hui, le constructeur britannique a décidé de travailler sur un nouveau projet : Une future McLaren connue sous le nom de code « P14 ». Prévue pour 2018, elle remplacerait ainsi la 650S conservant néanmoins son châssis en carbone et sa motorisation : le fameux V8 3.8 litres biturbo. Quoi de neuf dans cas sur ce nouveau modèle ?
Plus de puissance bien sûr !
On parle en effet d’un gain de puissance considérable, (peut-être même supérieur aux 675 chevaux de la 675LT). Ses lignes pourraient s’inspirer de celles de la P1, de quoi nous garantir une bonne aérodynamique donc…. Cette nouvelle McLaren souhaitant abattre le 0 à 100 km/h en moins de 3 secondes et atteindre une vitesse de pointe de 330 km/h… pour ce faire, il y a donc fort à parier que les ingénieurs fassent le nécessaire.