Dans l’univers de la formule E, les pilotes courront à bord de nouveaux bolides à partir de la prochaine saison (2022-2023). Voici ce que l’on sait déjà sur ces monoplaces de 3e génération.
Pour rappel, ces nouvelles monoplaces ont été présentées le 28 avril dernier. Cela s’est fait dans le cadre du célèbre E-Prix de Monaco. Vous n’avez pas encore pu voir à quoi elles ressemblaient? Regardez cette petite vidéo…
Comme vous avez pu le voir, avec leur design des plus futuristes, ces nouvelles monoplaces électriques n’auront presque plus rien à voir avec celles de la deuxième génération. Et il n’y aura pas qu’au niveau du design qu’elles sont différentes. Effectivement, elles disposeront aussi de nouvelles technologies, de quoi notamment les rendre encore plus performantes et durables.
Des monoplaces de Formule E plus petites, plus légères, mais plus puissantes
Comparées à celles d’aujourd’hui, ces nouvelles monoplaces de formule E seront plus petites et encore plus légères. Plus précisément, elles pèseront 60 kg de moins que les monoplaces de seconde génération. Elles seront également plus puissantes étant donné qu’elles seront dotées de nouveaux moteurs électriques et de divers composants dernier cri.
En matière de puissance, l’on sait que ces monoplaces de 3e génération disposeront de 136 chevaux (100 kW) de plus. Avec près de 470 chevaux, elles pourront ainsi rouler jusqu’ à plus de 320 km/h.
Ces nouveaux engins auront aussi un moteur plus performant destiné à la récupération d’énergie. Il sera situé à l’avant et pourra récupérer jusqu’à 40% d’énergie lors d’une course selon les explications.
De nombreuses pièces recyclables sur ces monoplaces de 3e génération
À noter que sur ces nouvelles monoplaces de Formule E, une grande partie des pièces sera recyclable. Ce sera notamment le cas de leur batterie ou encore de leur structure faites en carbone.
Bref, selon les concepteurs de ces nouveaux bolides, cette Gen3 établira « la référence en matière de performance, d’efficacité et de durabilité sans compromis ». Elle sera la preuve que « la haute performance et la durabilité peuvent coexister avec succès dans le Championnat du monde de Formule E ».
